HP Converged Storage : de nouvelles solutions de stockage pour les entreprises

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Le Top 10 de la semaine du mercredi 12 décembre 2012
  • HP Converged Storage : de nouvelles solutions de stockage pour les entreprises
    HP a enrichi sa gamme Converged Storage avec plusieurs solutions et services permettant aux entreprises de faire des économies au niveau du stockage et de simplifier son administration. 

    Les fournisseurs de systèmes de stockage traditionnels ne sont tout simplement pas en mesure d’aider les organisations à prendre en charge les nouveaux types de traitements. Empiler de nouvelles fonctionnalités sur des architectures anciennes a créé un cauchemar,” explique David Scott, Vice Président Senior et Directeur Général, Division Stockage, HP. “L’ensemble exclusif d’innovations de HP Converged Storage aide les clients à simplifier leur infrastructure et à réduire les coûts avec une architecture unique pour tous les segments et toutes les catégories de ressources.”

    Parmi les nouvelles solutions annoncées, figurent :

    .. HP 3PAR StoreServ 7000 Storage, une gamme de serveurs capable de stocker jusqu’à 864 To de données (disques durs classiques ou SSD) et pouvant être équipée de 24 ports Fibre Channel 8 Gb/s et de 8 port iSCI 10 GbE. Le modèle le plus sophistiqué abrite un contrôleur 6-core 1,8 GHz, prend en charge les modes RAID 1, 5 et 6, ainsi que les services blocs et les services fichiers avec HP StoreEasy. Deux modèles sont disponibles : le StorServ 7200 à partir de 15 000 HT et le StorServ 7400 à partir de 25 000 euros HT.

    .. HP StoreAll Storage, une solution de stockage en mode objets et fichiers dédiée à l’archivage Big Data et Cloud. Trois versions sont disponibles et tournent sous HP StoreAll OS v6.2 qui inclut notamment StoreAll Express Query (pour des recherches 100 000 fois plus rapides qu’avec les méthodes traditionnelles) et HP Autonomy Intelligent Data Operating Layer (pour des traitements analytiques réalisés avec des données actualisées et un minimum de ressources matérielles). La commercialisation est prévue le 20 décembre à partir de 0,70 euro HT/Go.

    .. HP StoreOnce 2000 et 4000 Backup, des solutions de sauvegarde et de déduplication de données livrées avec le logiciel HP StoreOnce Catalyst. Six nouveaux modèles sont disponibles et effectuent les opérations de sauvegarde trois fois plus rapidement que les précédents et ce, pour un coût de 35% inféreur à celui du concurrent le plus proche. Côté prix : les StoreOnce 2000 Backup sont disponibles à partir de 8 000 euros HT et les StoreOnce 4000 Backup à partir de 25 000 euros HT. Les licences pour HP StoreOnce Catalyst sont proposées à partir de 400 euros HT.

    Enfin, HP accompagne ces solutions d’une panoplie de services incluant :
    .. Technology Services pour aider les entreprises à optimiser les performances des systèmes HP StoreOnce.
    .. HP Financial Services Capacity on Demand permettant aux clients d’acquérir des ressources de stockage supplémentaires.
    .. HP Storage Management Services pour offrir aux entreprises l’expertise et les pratiques de référence opérationnelles en ce qui concerne l’administration de systèmes.

  • Marché de l’embarqué : une forte progression en 5 ans
    Depuis 2007, le marché de l’embarqué a beaucoup progressé. Aujourd’hui, les éditeurs et sociétés de services ont largement développé leur activité et beaucoup réalisent l’essentiel de leurs chiffres d’affaires dans l’embarqué. 

    Syntec Numérique note que depuis 2007, un double mouvement s’opère sur le marché de l’embarqué. Primo, on assiste à une pénétration relativement importante des acteurs étrangers en France. Aujourd’hui, en effet, 11% des acteurs sont étrangers, contre 7% il y a 5 ans. Secundo, les acteurs français se tournent aussi plus volontiers vers l’international. Les zones hors de France étant devenues de véritables moteurs de croissance. Ce mouvement d’internationalisation devrait d’ailleurs se poursuivre puisque la stratégie de développement à l’international prend aujourd’hui une place tout aussi importante que le développement national. Ce qui devrait se traduire sur le terrain par la recherche de partenaires et de revendeurs, par l’ouverture d’agences, voire par de la croissance externe à l’international.

    Aéronautique et automobile : deux secteurs clés
    L’aéronautique et automobile restent les deux secteurs phares du marché de l’embarqué. Ainsi, plus de 70% des acteurs qui adressent le secteur automobile sont aussi présents dans l’aéronautique et vice versa. 56% des acteurs qui adressent le secteur aéronautique sont aussi positionnés sur le secteur automobile. « L’automobile et le transport (notamment toute la partie fabrication de trains) sont aussi très liés avec 56% des acteurs qui adressent le secteur automobile sont aussi positionnés sur le secteur de transport » fait remarquer Syntec Numérique.

    Les outils Open Source de plus en plus utilisés
    Le développement rapide des acteurs de l’embarqué est du en partie à l’utilisation croissante d’outils open source dans les systèmes embarqués, et ce, aussi bien pour les éditeurs (65%) que pour les sociétés de services (42%). « Les outils libres sont toutefois utilisés majoritairement pour les plateformes de développement ou de test et assez peu dans les logiciels embarqués eux-mêmes sauf pour tout ce qui concerne le grand public (téléphonie mobile entre autres) » précise Syntec Numérique. Le taux de participation et d’affiliation à des communautés Open Source a également augmenté de manière significative, passant de 5% en 2007 à 45% pour les éditeurs et de 10% à 26% pour les SSII.

    Pôles de compétitivité : un cadre bienfaiteur 
    Quant aux pôles de compétitivité, ils ont un rôle structurant pour les sociétés oeuvrant sur ce marché. On note, en effet, une forte augmentation du nombre d’acteurs faisant partie d’au moins un pôle. « Ils permettent d’améliorer l’aménagement du territoire en consolidant le tissu industriel et en le rapprochant du monde académique et de la recherche mais aussi en proposant des projets avec des grands donneurs d’ordre » explique Syntec Numérique. Ces derniers peuvent avoir des répercussions internationales et ainsi aider au développement des acteurs en dehors de la France.

  • DLINK
  • Les ERP collaboratifs survivront à la fin du monde, les autres non
    La fin du monde est proche. Les ERP qui ne se concentreront encore que sur l’exécution de leurs processus intégrés seront désintégrés, ou devront évoluer vers plus de souplesse et de collaboration dans l’intérêt de chacun de leurs acteurs, et donc de l’entreprise. François Genestin, de Simplicité Software, nous livre son analyse.

    Avec les nouvelles technologies, les processus métier en entreprise se complexifient pour accompagner les utilisateurs dans l’organisation de l’activité stratégique : processus de vente, de fidélisation, de production, de facturation, ou processus RH d’entretiens annuels, de gestion des notes de frais…

    Paradoxalement, pour créer et mettre en place de tels systèmes, les entreprises engendrent machinalement un nombre encore plus important de sous-processus/procédures/systèmes interdépendants : de la conception à l’exploitation en passant par les développements, toutes les équipes s’animent autour de problématiques souvent orthogonales aux vrais enjeux de l’entreprise. Alors que la direction parle principalement d’aller plus vite et plus loin que le concurrent, en produisant moins cher, en fidélisant ses clients, en améliorant ses services rendus, ou en valorisant ses employés lorsqu’elle en a encore le temps… l’exploitant lui ne semble préoccupé que par la QoS de son wLAN vers 14h30, le développeur que du respect des nouvelles normes html5/css3, l’architecte/analyste que du « trop-super-mega-top » BPMNv2 qui va vraiment enfin tout changer dans l’organisation de lui-même, pendant que le chef de projet tweete sauvagement sur le dernier match OM/PSG en attendant que le projet avance…

    Cette dérive entropique est certes caricaturale mais la tendance des systèmes complexes tend vers une forme de chaos généralisé. Celle-ci est simplement causée par un problème de collaboration entre tous les acteurs qui en ont perdu l’objectif commun. Le logiciel d’entreprise ou l’ERP à la base uniquement conçu pour supporter les processus attendus in fine des métiers, doit donc maintenant être capable de supporter toutes les activités qui lui permettent d’évoluer, de se maintenir et de s’exploiter, donc avec l’ensemble des acteurs nécessaires à son accomplissement.

    L’ERP de demain doit donc dépasser sa fonction actuelle et s’appuyer sur une plateforme unifiée et collaborative où chaque acteur (métier, MOA, MOE, testeur, utilisateur, exploitant…) a pleinement conscience à chaque instant de son rôle dans le processus général pour atteindre l’objectif final. Comme on a pu le croire depuis quelques années avec l’arrivée des réseaux sociaux, l’idée ne se résume pas uniquement à créer du lien ou de la communication entre les membres de l’entreprise. Il lui faut également savoir piloter, animer et orchestrer en temps réel le travail de chacun dans le respect des contraintes stratégiques de celle-ci.

    A ce titre, toute plateforme instrumentant une gestion du cycle de vie applicative (ALM) couplée à une démarche agile orientée modèle (Model-Driven Engine) permettra d’atteindre cet objectif : les acteurs métier y expriment leurs besoins en langage naturel, les analystes les dérivent en modèles fonctionnels que les designers implémentent en suivant un planning définit par le chef de projet qui peut suivre l’avancement du projet. La plateforme fournissant également des services de contrôles/tests, d’exécution et de supervision est capable de remonter des indicateurs d’usages aux exploitants et aux métiers, qui peuvent alors exprimer de nouveaux besoins en suivant les axes stratégiques de la direction. La boucle est bouclée.

    Aucune fin du monde pour ceux qui sauront s’adapter.

  • Lexmark
  • Red Hat lance son offre de e-learning en Europe
    Le fournisseur de solutions Open Source annonce le lancement en Europe de son offre Virtual Training de formations en ligne. Dispensée sur Internet par un instructeur, celle-ci reprend les mêmes contenus et ateliers pratiques que les formations traditionnelles en salle. Ces formations virtuelles s’adressent aux professionnels au budget ou à la disponibilité limités, qui résident loin des centres de formation ou qui souhaitent bénéficier d’autres formations que celles proposées près de chez eux. Déjà proposées en Amérique du Nord, ces formations virtuelles sont désormais disponibles dans la plupart des pays européens.

    L’offre Virtual Training regroupe la grande majorité des cours de Red Hat, dont les plus populaires. Au total, 21 formations virtuelles sont ainsi proposées, couvrant l’ensemble de l’offre de la société, notamment pour l’administration élémentaire et avancée des systèmes Red Hat et des applications JBoss, et le développement JBoss. Red Hat proposera également des formations virtuelles sur site pour des équipes de six participants minimum, éloignés les uns des autres mais qui souhaitent recevoir la même formation.

  • DLINK
  • Travail collaboratif : IBM met le turbo
    D’après Forrester Research, le Cloud computing va passer de 41 milliards de dollars de revenus en 2010 à 241 milliards de dollars en 2020. En parallèle, les réseaux sociaux prendront eux aussi une place de plus en plus significative dans le monde de l’entreprise. Selon Forrester Research, le marché potentiel des applications collaboratives d’entreprise devrait augmenter de 61% d’ici 2016, et représenter près de 6,4 milliards de dollars.

    Pour répondre à ce nouveau marché, IBM annonce le lancement d’un nouveau logiciel collaboratif pour aider ses clients – notamment l’Université du Texas à El Paso – à collaborer facilement et en toute sécurité dans le Cloud, depuis de nombreux terminaux mobiles.

    Les nouveaux services dans le domaine du Social Business, au sein de son offre IBM SmartCloud, permettront à ses clients de collaborer tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’entreprise, avec des partenaires, des clients ou encore des fournisseurs. Les nouveaux services de Cloud computing incluent la modification collaborative de documents (directement sur la plate-forme), l’accès en un clic aux réseaux sociaux, les wikis, les blogs, y compris le partage de fichiers, l’accès aux communautés, les réunions en ligne, la messagerie instantanée ainsi que les e-mails et calendriers dans le Cloud (autant de services qui sont de niveau requis pour les entreprises). Par exemple, lorsque vous travaillez sur un document dans le Cloud, la détection de présence et le service de messagerie instantanée permettent aux utilisateurs de voir si un co-éditeur du document est en ligne, et s’il est disponible pour discuter en temps réel.

    « Dans la mesure où le personnel itinérant utilise de plus en plus les emails et les calendriers pour travailler, générer de nouveaux projets, partager leurs idées et être toujours plus efficace à tout moment et à tout instant, quelque soit le terminal mobile utilisé, la combinaison des outils collaboratifs, de mobilité et le Cloud – le SoMoClo (Social Business, Mobile, Cloud) – devient encore plus stratégique », explique Alistair Rennie, Directeur Général du Social Business, IBM.

  • Lexmark
  • Comment fonctionnent les Workflows et les Règles avec Alfresco (publi) ?
    Les entreprises certifiées ISO doivent impérativement documenter leurs procédures à l’aide de notes qualité, et avec des processus (workflows) de validation garantissant que toutes les personnes devant avoir accès aux documents y ont accès, et sont informées des mises à jour.

    (Cliquez-ici pour Télécharger les 10 cas d’usages ALFRESCO !!!!)

    Les règles et les procédures dans la pratique
    StarXpert a ainsi mis en place Alfresco pour une société spécialisée dans la gestion des risques industriels. Cette société effectue des tests (explosions, etc.), puis les collaborateurs rédigent des documents décrivant les procédures et les risques. Certains sont documents publics, d’autres sont privés.
    Chaque service possède un responsable de la qualité. Chaque document qualité est initié par le responsable, un premier rédacteur rédige le document qui est ensuite passé en revue par d’autres acteurs à chaque étape du workflow de validation. La validation finale s’effectue par le responsable, qui s’assure que le document est conforme aux procédures et accessible aux bonnes personnes.
    Les utilisateurs peuvent, à tout moment, accéder à la liste des documents rattachés à la liste de diffusion dont ils font partie.

    La revue de documentation
    Chaque responsable qualité peut automatiquement consulter la liste des documents antérieurs à une date précise et vérifier les délais de péremption. Ce processus s’appelle, dans Alfresco, la revue de documentation. Il trouve ces documents automatiquement et gère les versions pour que les utilisateurs sachent toujours quel est le document vivant.

    Un cas concret pour les demandes de développement
    Un autre exemple de workflow dans une caisse de retraite, cliente également de StarXpert, met en évidence les fonctionnalités d’Alfresco dans ce domaine pour gérer les demandes de développement d’applications. Un document, le cahier des charges, est associé à chaque demande de développement. Un workflow fait avancer ce document qui passe successivement en mode « en développement », « recette », puis « production ». Il avance au même rythme que le développement. Si un bug est identifié une fois le développement en production, le document doit également rester accessible dans le dossier « production », mais un nouveau workflow est relancé sur le document  pour le remettre en mode « développement ». En effet, une règle spécifique autorise alors de relancer le processus de développement. Lorsque le document revient dans le dossier « production », il acquiert une nouvelle version. La version visible à tout moment reste la plus récente et il faut effectuer une action spécifique pour voir les antérieures.

    La montée en puissance et en volume
    Autre exemple chez un client de StarXpert, une entreprise française de 20,000 personnes réparties dans 103 usines à travers 28 pays au monde et spécialisée dans la fabrication de produits en matière plastique pour l’industrie automobile (pare-chocs…) et l’environnement (poubelles…). Cette société utilise Alfresco pour gérer les demandes d’achat du groupe. A l’aide de StarXpert, Alfresco est paramétré pour répondre à ces besoins spécifiques. Les métadonnées, nom du client, du projet, du dossier, le prix … sont associées aux documents. Toutes les données présentes autrefois sur le format papier doivent naturellement se retrouver dans Alfresco, et donc être renseignées à la saisie d’une nouvelle demande d’achat.
    Le demandeur envoie une demande au validateur, puis l’acheteur va effectuer l’achat si la demande répond aux critères qui lui sont impartis. Dans le cas du client cité, certaines machines-outils coûtent plusieurs millions d’euros, auquel cas le workflow de validation suit des étapes plus complexes.

    Et dans le domaine public
    Un dernier exemple fréquent de dématérialisation concerne la gestion des différentes étapes d’un appel d’offre public.
    Alfresco gère les droits des utilisateurs pouvant créer et/ou valider un nouvel appel d’offre. Une fois la validation passée, Alfresco gère l’accès aux réponses qui sont reçues. Les créateurs n’ont pas le droit de voir les réponses des prestataires, pour des raisons évidentes de confidentialité et d’impartialité. Par contre, lorsque le prestataire est retenu, le marché public change d’état et le(s) créateur(s) du marché peuve(nt) voir toutes les réponses. Alfresco sert ainsi au stockage des documents et à la gestion des droits sur les réponses.

    Comment débuter ?
    Vous pouvez par exemple contacter la société StarXpert, partenaire Gold d’Alfresco depuis 2006 et qui est susceptible de vous accompganer dans tous vos projets avec Alfresco.

    Cet article vous a intéressé ?
    Téléchargez les 10 cas d’usages !!!!

    http://www.starxpert.fr/10-cas-dusage-alfresco/

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  • Terra Pad 1001 : une tablette Android de 9,7 pouces pour les professionnels nomades
    Terra Computer commercialise juste avant Noël, une tablette de 9,7 pouces à moins de 200 euros : le Terra Pad 1001. 

    Sur le papier, cette tablette Android de 9,7 pouces possède pas mal d’arguments intéressants.

    Primo, un grand écran de 9,7 pouces affichant une définition de 1024 x 768 pixels.

    Secundo, un processeur Cortex A9 dual core cadencé à 1,5 GHz associé à un processeur Mali 400 Quad Core et 1 Go de mémoire vive.

    Tertio, 16 Go de mémoire embarquée.

    Quarto, la connectivité WiFi n et Bluetooth, 2 ports micro USB (dont un port Host), une sortie mini HDMI, une prise casque et un lecteur de carte mémoire.

    A priori, tout y est ou presque. Elle tourne sous Android 4.0, mais Terra Computer précise qu’il est possible d’installer toutes les applications métiers souhaitées par le client final.

    Son prix : 199 euros.

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  • Le réseau très haut débit le plus rapide au monde
    BT a réalisé le déploiement expérimental et grandeur nature d’un service très haut débit de 10Gbits/s dans un environnement opérationnel. L’entreprise d’ingénierie Arcol UK Ltd, basée dans le comté de Cornouailles, au sud-ouest du Royaume-Uni, est la première entreprise à pouvoir tester cette nouvelle technologie réseau ultra-rapide. Réalisé grâce à la nouvelle technologie de fibre optique XGPON (des dizaines de Gibabits sur un réseau optique passif) développée par la société d’électronique ZTE en partenariat avec Openreach (division Infrastructure de BT Group), ce déploiement s’inscrit dans le cadre du « Superfast Cornwall Programme », pour lequel BT collabore avec l’Union Européenne et le comté de Cornouailles.

    Pour visualiser le témoignage de Ranulf Scarbrough, Directeur du « Cornwall SuperFast Broadband Programme » de BT Group et d’Alun Morgan, Directeur Technique d’Arcol : http://www.youtube.com/superfastcornwall.

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  • Fin du monde : 9 scénarios qui font trembler les scientifiques
    La chute d’un astéroïde géant, la pandémie mondiale, la grande panne informatique, la catastrophe climatique, la guerre nucléaire, l’épuisement total des ressources, l’invasion extraterrestre, la pollution généralisée, l’éruption d’un super volcan… autant de scénarios catastrophes dont se sont emparés les cinéastes depuis longtemps.

    Près d’un français sur trois* n’y croit pas et pourtant… un jour c’est sûr… la terre, le système solaire puis la Voie Lactée, les galaxies et l’Univers disparaîtront. Les lois physiques ne laissent aucun doute là-dessus et le compte à rebours est lancé.

    Cependant, cela pourrait ne pas signifier pour autant la fin des temps. En effet, lorsque la matière atteindra son stade ultime, des choses improbables pourront se faire, telle que la création d’un nouvel Univers.

    Avec l’aide de spécialistes, Science & Vie a concocté le « Journal de bord d’un survivant », une fiction traitant de l’après-fin du monde permettant de mieux appréhender ce que pourrait être la survie d’une poignée d’individus sur Terre.

    Et puis, il y a les hommes qui veulent se réfugier dans un bunker, ceux qui font des cauchemars, se préparent au pire ou veulent fuir la Terre. Sans oublier ceux qui veulent rendre l’homme invulnérable ou qui pensent que le monde n’existe pas. Petit tour de ces hommes et des techniques à leur disposition.

    * Un sondage Harris Interactive, réalisé pour Science & Vie et Ciné+, est également publié dans ce numéro spécial  » fin du monde « . Jusqu’au 16 janvier 2013, Ciné+ programme plus de 40 films et des documentaires inédits.

    Science & Vie Hors-Série novembre 2012. 5,90 €.

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  • Apple fera fabriquer une partie de ses Mac aux Etats-Unis : coup de com’ ou bonne conscience ?
    Apple devrait, à partir de l’année prochaine, faire fabriquer une partie de ses ordinateurs aux Etats-Unis et non plus en Asie. Même s’il ne s’agit que d’une portion congrue, c’est un évènement majeur sur le marché de l’informatique. 

    Avec cette résolution, Apple espère surtout améliorer son image de marque, explique Craig Stuce, analyste chez IHS. L’image publique de la société a, en effet, été égratignée ces dernières années par les révélations sur les conditions de travail dramatiques chez certains de ses partenaires asiatiques (Foxconn notamment). « Cette décision pourrait toutefois motiver d’autres fabricants à suivre le même chemin et à réimplanter une partie de leurs productions aux Etats-Unis au cours des prochaines années » ajoute-t-il.

    Pourtant Apple n’est pas un poids lourd sur le marché des ordinateurs. Il n’est que le numéro 6 mondial avec 5,8 % de parts de marché. Et jusqu’à présent, Apple externalisait sa production d’ordinateurs en Asie chez Quanta Computer, Foxconn Electronics ou encore Pegatron, des assembleurs taiwanais ayant aussi des usines en Chine.

    Pour Jeffrey Wu, un autre analyste d’IHS, cette décision d’Apple n’est qu’une opération de relations publiques. De la com’ pure et dure. Car au fond, pour une société comme Apple, les avantages sont nombreux à faire fabriquer ses produits en Asie : des coûts en main-d’oeuvre beaucoup moins importants qu’ailleurs, des délais de fabrication et de livraison plus rapides et des coûts d’expédition réduits. « Je ne peux pas imaginer qu’Apple puisse transférer la fabrication de ses principaux produits comme l’iPhone, l’iPad et l’iPod aux Etats-Unis dans un futur proche » lâche d’ailleurs Jeffrey Wu qui note que Quanta et Foxconn possèdent plusieurs petits sites de production aux Etats-Unis. Et a priori, ce sont à eux qu’Apple confiera ces nouvelles tâches de production.

    Et Jeffrey Wu de rappeler qu’Apple n’est pas le premier à annoncer qu’une partie de ses ordinateurs sera fabriquée aux Etats-Unis en 2013. Lenovo avait aussi annoncé en octobre son intention de produire des ordinateurs en Caroline du Nord l’an prochain. Mais personne n’avait relevé l’information. En revanche, dès qu’il s’agit d’Apple, c’est un évènement.

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